Je lance donc cette réflexion aux personnes qui, comme moi, voient l'intégration des TIC comme étant un moyen qui permet aux enseignants de changer leurs pratiques pédagogiques.
Pouvons-nous adapter cette carte d'organisation d'idées, au monde de l'éducation? Est-elle transférable?
A la question : "comment pouvons-nous aider les enseignants à franchir ces obstacles ou à changer leurs représentations du Web 2.0 ? " ma réponse est par l'accompagnement et non par des formations de groupes. Je crois qu'il faut suivre le rythme de chacun et laisser les gens s'approprier les outils. Prendre le temps de les intégrer dans leurs pratiques pédagogiques donnera probablement de meilleurs résultats à long terme.
Vos commentaires sont les bienvenus.
Il y a encore pas mal de réticences dans le milieu de l'éducation face au web social (web 2.0): Manque de ressource technologique, manque de temps, réorganisation du travail, crainte pour la vie privé, choc dans les valeurs pédagogiques, etc. En plus, il faut adapter ses approches pédagogiques avec ces outils et ce n'est pas toujours facile, mais ça vaut le coup !
RépondreSupprimerL'obstacle à l'Education 2.0 est moins la sécurité (raison avancée officiellement pour justifier les filtrages) que la pédagogie (le passage de la transmission verticale à la construction horizontale), autrement dit moins la protection des élèves que celle du maître ...
RépondreSupprimerDans mon collège, il n'y a pas de filtrage. Par contre, l'introduction de nouvelles technologies pour l'enseignement se fait encore à pas de tortue. L'intégration des TI demande des changements très importants du côté de la pédagogie. Ce n'est pas quelque chose qui se change en une session ou une année. Elle implique aussi à peu près tous les services d'une institution scolaire pour devenir réalité.
RépondreSupprimerSuper ce blogue. Très pertinent pour la veille technopédagogique.
Accompagnement et respect du rythme de chacun, voilà deux mots-clés pour favoriser l'intégration des TIC par les enseignants. La formation en grand groupe sans suivi peut éveiller ou susciter un certain intérêt. Une fois en classe, chacun repart dans son quotidien et les intentions s'estompent... L'accompagnement devient essentiel pour se fixer des objectifs et faire les premiers pas.
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